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SES BELLEY
20 décembre 2016

Dagson Silva 15-16

DAGSON Silva

 

 

 

 

Philippot                                         Dagson Silva

Clémence

1ES1

 

 

 

 

 

 

Comment une société traditionnelle peut-elle encore fonctionner en 2016 ?

 

 

 

Comment une société traditionnelle peut-elle encore fonctionner en 2016 ?

 

 

Dagson Silva est un jeune artiste Brésilien, habitant dans la favela de Bela-Horizonte. Il est venu en France pour la première fois en juillet 2015, arrivé pour des travaux personnels, il nous a présenté son travail. Celui-ci aborde le quartier dans lequel il a grandi et ce qui s'y passe. Son travail porte également sur l'auto-construction de ses favelas. Nous allons voir comment une société traditionnelle peut-elle encore fonctionner en 2016.

 

Pour lui, les favelas possèdent une grande diversité de populations, de cultures. En effet, les favelas sont des ensembles de maisons qui ont été construites par les habitants, en général ce sont des personnes qui après l'esclavage avaient peu de moyens et on construit leurs maisons avec ce qu'ils avaient ou ce qu'ils trouvaient. On trouve donc des Brésiliens, des Européens, des Indigènes et encore beaucoup d'autres cultures, cela donne une forte mixité sociale. Ces favelas sont en périphérie des villes, on peut voir là une exclusion de la société, il y a donc des conflits de richesse et d'exclusion, ce qui créé de nombreuses inégalités. Cette exclusion volontaire amène à créer involontairement un groupe social. Effectivement, on parle de groupe social lorsqu'il existe des liens internes, directs ou indirects, la conscience d'appartenir au groupe et de se distinguer des autres groupes. Ici, les habitants des favelas sont contraints d'avoir des liens internes ainsi que de se distinguer des autres groupes, lorsque l'artiste produit des peintures sur les murs des habitants c'est pour défendre et faire connaître une histoire qu'ils ont en commun.

 

 

Dans toute les représentations de Dagson Silva, on aperçoit la favela et non pas une seule maison. Elle y est représentée comme un «tout», comme quelque chose de collectif. Il montre également beaucoup de précarité et l'insécurité du lendemain. Malgré cette précarité et cette insécurité, les habitants sont solidaires, la notion de «propriété privée» n'existe pas. Ils ne fonctionnent pas avec individualisme, il y a là une solidarité mécanique. Tout cela va créer une cohésion sociale qui est une situation d'un groupe fortement solidaire et intégré où il existe l'existence de buts communs, une attraction des individus les uns par rapport aux autres et l'attachement des individus au groupe. Dans ces œuvres, Dagson Silva représente la favela comme un corps social tout comme Durkheim, sociologue français qui nous décrit la société de façon organique, c'est-à-dire que tous les organes ont une fonction différente et cela doit être pareil pour la société.

 

 

C'est une société qu'on peut qualifier comme une société traditionnelle. Durkheim nous explique qu'une société traditionnelle se caractérise par des similitudes entre les individus vivants dans cette société, que «l'individu» à proprement parler n'a pas sa place dans la société. Il y a quelques années, l'état Brésilien a voulu détruire ces favelas pour reconstruire de nouveaux habitats dit «plus conventionnels». Dagson Silva fait partie de ceux qui pensent qu'une favela, c'est une œuvre puisque c'est une production humaine, il a donc voulu garder intact ces favelas et grâce à son art il a voulu attirer l'attention sur ces quartiers. On assiste à la mise en place d'une stigmatisation qui est un processus de désignation d'une personne ou d'un groupe comme étant déviant, ce qui conduit à sa mise à l'écart. Dagson Silva est un acteur important pour montrer le positif de ce lieu alors mis à l'écart, c'est aussi un acteur dans la politique, il défend cette façon particulière de vivre. Ce mode de vie a donc conduit à créer une société traditionnelle à l'intérieur d'une société moderne. La société qui s’est formée dans cette favela a donc pu fabriquer ses propres valeurs et ses propres normes.

 

 

 

1-DAMAY Agathe    1ère ES

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

DAGSON DA SILVA

 

 

Le jeudi 24 mars 2016, un artiste brésilien est venu nous parler de sa passion : le street art. C’est un mouvement artistique contemporain qui regroupe toutes les formes d’art réalisé dans la rue comme le graffiti, la mosaïque, le sticker, c’est principalement un art éphémère vu par un large public. Dagson Silva habite au Brésil à Bela horizonte, dans une favela. Avant de commencer son activité il a fait des recherches sur sa favela en discutant avec les habitants. A travers son travail artistique il met en scène les habitants des quartiers brésiliens et représente des scènes du quotidien, il reproduit aussi des personnages en train de construire leur maison avec des matériaux de récupération dans la favela. Depuis que le Brésil doit organiser la Coupe du monde de football de 2014, qui a déjà été faite, et les Jeux olympiques d'été de 2016 pour la ville de Rio, les pouvoirs publics brésiliens ont décidé d'utiliser des moyens militaires pour déloger les habitants de leur maison remplie d’histoire. En quoi l’art de rue, le street art, intervient-il quant à l’image que renvoient les favelas d’elles-mêmes ? Tout d’abord nous observerons l’histoire de ces quartiers brésiliens puis nous évoquerons le fossé qui sépare la ville de sa périphérie. Enfin nous verrons l’image que donnent les médias des favelas.

 

 

Les favelas ont été construites par les habitants eux-mêmes après la période de l’esclavage dans les années 1880. L’architecture des maisons donc des quartiers a été inventée par les habitants à partir de leurs connaissances et de leur savoir faire. Dans la favela une grande mixité sociale s’est installée au fil des années car beaucoup de personnes arrivent et partent sans cesse.

Pour créer une œuvre sur le mur d’une maison la grapheur rencontre ses habitants afin de connaître leur histoire pour que son esquisse ait un rapport avec ceux-ci. A travers ses œuvres et la représentation que Dagson fait des favelas il veut représenter chaque maison comme si c’était une partie d’un corps qui se complète avec une autre, tout comme Durkheim. Par ses graphes il veut donc nous faire voir que l’individualisme n’existe pas et que tout le monde s’entraide. En matérialisant l’histoire de cet endroit il témoigne du lien social qui existe entre les habitants et du contrôle social qui agit sur les individus, si un chef ou une personne âgée dit quelque chose tout le monde l’écoute. Chaque groupe respecte ses propres valeurs et ses propres normes. Ce corps de personnages, de culture et de maison est d’une richesse immatérielle exceptionnelle.

 

Les habitants des favelas vivent le plus souvent dans la précarité autant dans les infrastructures (les maisons ne sont pas solides face aux intempéries des pluies) que dans l’accès en l’eau potable, ils subissent aussi des conflits sociaux comme les violences et les trafics illégaux. Les habitants des quartiers plus aisés sont en désaccord avec cela, la police intervient donc de façon très négative dans les favelas, la plupart du temps avec des armes, ce qui aggrave la situation. Pour régler ce conflit de richesse entre argent et culture le gouvernement brésilien a voulu détruire ces quartiers populaires mais les habitants se sont opposés à cette idée car ils veulent garder cette matérialisation de leur histoire intacte. Dans ses œuvres l’artiste expose le faible revenu, l’insécurité alimentaire et matérielle qui touche les habitants. Il veut nous monter que la mixité culturelle est présente mais pas la mixité sociale car ce sont les plus démunis qui habitent dans la favela, il dénonce aussi le manque d’aide de la part des personnes plus aisées et du gouvernement.

 

Dagson dénonce aussi la représentation des favelas par les médias car c’est en partie à cause d’eux que les gens des quartiers aisés veulent les détruire. En effet, ils évoquent l’image très négative de ces quartiers en filmant les excès de violence entre les groupes rivaux et en médiatisant les trafics de drogue. Les médias mettent les habitants de ces quartiers souvent défavorisés à l’écart de la société et entretiennent le conflit ethnique et culturel qui perdure depuis les années 2010. Les journaux les appellent « Dona Marta » terme péjoratif portugais, ils ont décidé que ces quartiers n’ont pas de nom, pas d’histoire, en dehors de ce que la presse leur fabrique. 

Les habitants de la favela de Dagson trouvent son travail très intéressant car même s’il peint la précarité ou des scènes d’homicide il les représente de façon positive avec un objectif pour un futur meilleur.

 

 

Dans les dessins de street-art la favela devient un œuvre d’art car elle témoigne du lien qu’il y a entre le lieu et l’habitant. En dénonçant des faits négatifs racontés par les habitants extérieurs et en peignant des scènes quotidiennes que l’ont retrouve dans une favela, Dgason Silva nous apprend que l’individualisme n’existe pas et que tout le monde s’entraide pour défendre son histoire. Le street art dans la favela représente un intérêt culturel pour l’ensemble des brésiliens qui peuvent être curieux d’aller à la rencontre de ces œuvres d’art. L’art de rue pourrait donc à long terme favoriser l’ouverture des liens entre les différents groupes sociaux.

 

 

RABI Loubna Rencontre avec SILVA Dagson

1ES1

 

Les favelas est un nom donné aux bidonvilles du Brésil, ses dernières sont constituées d'un ensemble de maison construit par les habitants, les premiers hommes arrivèrent après la période de l'esclavage sans argent. Dasgon Silva artiste portugais nous a expliqué par l'intermédiaire de ses œuvres, la vie quotidienne des favelas. Il nous a donc parlé de Belo Horizonte sa ville d'origine âgée de plus de 150 ans et située sur la colline Morro das Pedras. Pourquoi peut-on qualifier la favela de société traditionnelle? En quoi cela pose problème au XXI siècle?

 

 

Pour commencer, la favela représente un corps organique et mécanique à la fois. En effet, on constate une solidarité sans faille. Quand une personne est touchée, c'est la favela dans sa globalité qui est touchée. On ne parle pas du corps d'un individu mais bien du corps de l'ensemble des habitants de la ville. De plus, les individus sont liés par des liens de similitudes, tous ont des revenues précaires et ont construits leurs maisons avec les matériaux à leurs dispositions. On peut s'appuyer sur l’œuvre de Dagson Silva, dans laquelle, l'artiste construit avec des matériaux de récupération le comportement de la favela lors d'une intervention policière. On observe la globalité de Belo-Horizonte menottée. L’intéraction qui régisse les relations entre les individus est forte. Ainsi on peut parler d'intérachionniste, la solidarité entre les individus peut également être qualifié d'organique et de mécanique car chacun a besoin des autres comme les organes d'un corps, et tous présente des comportements similaires face à la misère.

 

Ensuite, la favela présente une cohésion sociale inouïe. Malgré une mixité sociale élevée au niveau de la culture, ce groupe est fortement solidaire, en découle l'existence de but commun : continuer a vivre malgré la précarité de leurs revenus. S'ajoute à cela, l'attraction des individus les uns par rapport aux autres, de plus l'attachement des individus au groupe est très fort. On peut prendre pour exemple l'architecture de la favela. Ces dernières sont collées ou empilées les unes sur les autres, tel un noyau indestructible, tel une collectivité inséparable. Ainsi la cohésion sociale renforce la conscience collective de cette société. Alors que pour les villes riches, telle que Paris la conscience collective laisse de plus en plus de place à la conscience individuelle.

 

Néanmoins, la favela est comparable à une banlieue. Les individus sont mis au banc de la société car ils ne correspondent pas aux normes de la société moderne, pire, ils sont vus comme des troubles au bon fonctionnement de celle ci. Ainsi l'organisation des normes de la société Brésilienne met a l'écart les individus vivant dans la favela. La banlieue positionnée sur Morro das Pedras est à l'écart de la dynamique urbaine. Par exemple, trouver un emploi dans la ville est cause perdue lorsque l'on vient de la favela. En sortir pour toujours est très difficile. La pauvreté est génératrice de conflits sociaux. Les trafics de drogue et la violence très présent dans la favela crées des tensions sociales. Les médias accentuent une image insécuritaire du lieu. Il existe pourtant des acteurs tels que Dagson Silva artiste et acteur politique défendant les valeurs de la favela. Il cherche à matérialiser le réel visage de la ville et pour cela il s'exprime de manière artistique.

 

Pour finir, la favela présente donc un écart important par rapport à la société moderne. Ce sont deux mondes différents. Dans les favelas, la propriété privée n'existe pas. La production humaine peut a tout moment être détruite par l’État qui met en place des politiques de destruction. On détruit une histoire, des heures de réflexion et de travail artisanal.On détruit une œuvre d'art. De plus dans les favela, à la naissance il n'y a aucun enregistrement alors qu'en société moderne, déclarer son enfant est une obligation formelle. S'ajoute un écart de valeur comme le droit à l'image par exemple. Dagson Silva a su grâce aux graffitis représenter les moments difficiles des habitants face à la destruction de leurs productions. Il a filmé et photographié en liberté la favela qui souhaitait montrer au monde entier la réalité des faits. On observe donc un écart important des normes, des valeurs et des lois. Ces différentes caractéristiques amènent a nous faire comprendre que les deux consciences collectives des deux société sont différentes, et pour cause, elles ne sont pas alimentées de la même manière.

 

 

Pour conclure, la favela est un ensemble de personnes solidaires à l'histoire commune. C'est la représentation d'une société traditionnelle au XXI siècle. Qui essaye de vivre comme elle peut, alors que la société moderne ne voit en elle qu'une société réactionnaire et non progressive comme elle le souhaite. Les médias exercent une théorie d’étiquetage de la population des favelas , qui sont totalement exclues alors que d'autres acteurs comme Dagson Silva se battent contre la stigmatisation violente du lieu . Pendant ce temps, la société moderne, qui pousse les individus à l'individualisme perd certaines valeurs que la société traditionnelle n'as jamais oublié.

 

 
   

 

ENNABILI Isra 1ES1

 

 

 

 

Quel lien social les favelas ont-elles avec la population brésilienne y habitant et comment celles-ci sont-elles représentées à travers le Street Art?

 

 

Il faut savoir que les favelas sont en effet, le nom donné au bidonville au Brésil. Il s'agit de quartiers situés sur des terrains occupés illégalement, le plus souvent insalubres, et dont les habitations sont construites avec des matériaux de récupération. De plus, les favelas sont très connues pour leur originalité ainsi que pour les diverses cultures qu'elles contiennent, et, sont caractéristiques du Brésil. La pauvreté est très prégnante au Brésil: 21,4% de personnes au brésil vivent en dessous du seuil de pauvreté. Cependant, la solidarité est très présente au sein de ces bidonvilles brésiliens. Afin de représenter celles-ci, qui ne sont pas seulement un endroit où la pauvreté est importante, de nombreux artistes brésiliens tels que Dagson Silva, ancien résident d'une favela situé à Belo Horizonte au Brésil du nom de Moro Das Pedras, viennent mettre en valeur ces favelas sous l'art du quartier: le Street Art afin de les représenter mais surtout afin de défendre leur histoire à travers ceux-ci. Ainsi, Dagson, lui, est très attaché au quartier de son enfance, qui est symbolique pour lui, mais pas seulement que pour lui, la population de ces favelas, effectivement, l'est aussi. Toutes ont une histoire datant d'il y a très longtemps, qui ne cesse de rester dans les mémoires et dans l'esprit des Brésiliens résidents dans ces bidonvilles puisque celles-ci, sont considérées comme la maison de tous et donc considérable pour eux. Il y a effectivement un réel lien social au sein de ces favelas.

 

 

En effet, les favelas ont un lien social évident avec les habitants. En effet, elles sont donc très importantes et primordiales pour cette population, elles sont construites par les habitants eux-même et symbolisent une énorme solidarité. De plus, la pauvreté est au cœur de ces favelas, pauvreté qui est génératrice de problèmes sociaux. Certes, mais pour ceux qui y habitent, celles-ci sont uniques et rassemblent une diversité de cultures telle que la culture africaine, indigène, européenne. Elles représentes un réel atout pour les habitants des favelas et son ainsi très importante pour un individu en difficultés. Ces favelas ont toutes une histoire en commun qui date de il y a très longtemps. Ainsi, les différentes cultures ne cessent de défendre cette histoire. Ici, l'individualisme n'est pas présent. Celles-ci ont été généralement créer après la période de l'esclavage , moment où l'accès aux ressources étaient faible et construites à l'aide des habitants. Elles sont alors un réel lien avec les brésiliens puisqu'en effet celles-ci sont fait de bon cœur et cependant malgré la pauvreté, ils sont toujours rattacher à ces bidonvilles malgré les diverses difficultés. Celles-ci sont construites à l'aide de matériaux trouvés et sont basées sur. Pour les habitants de celles-ci, les favelas sont la maison à tous. Elles sont caractérisées comme la vie quotidienne pour ces gens-là. Ainsi, la solidarité est très prégnante. Perdre les favelas est perdre, la solidarité et donc la vie en famille. Ces favelas, sont celles qui unissent les individus . Il y a donc la présence d'un fort lien social.

 

 

De plus, le mode d'expression culturel est très présent à l'intérieur de ces favelas. En effet, celui-ci se développe de plus en plus, de plus sous différentes formes. À travers ces favelas ce cache de nombreux modes d'expression qui existent dans ces favelas telles que la danse avec la samba, le funk: danse qui n'étaient pas acceptés autrefois, la peinture, la sculpture et tout type d'art. Cependant, le Street Art, comme son nom l'indique est l'art du quartier est très important dans ces bidonvilles placés en périphériques des villes: ici à Belo Horizonte , car parmi eux, certains veulent faire passer un message, et pour d'autres cela ne représente qu'une sorte d'ambiance et/ou de détente entre les habitants résidents dans ces bidonvilles. Ceux-ci sont toutefois, une sorte de s'exprimer, afin de se faire entendre. Il y a donc une réelle forme d'expression dans ces favelas.

 

 

Effectivement, le Street Art est en effet représenté sous différentes formes pour caractériser ces favelas. chaque artiste à une manière de représenter celles-ci et de faire passer un message. Elles sont représentées sous différentes formes ( peinture, sculpture en bois, graffiti...) mais veulent toujours représenter une idée. Les favelas sont souvent représentées comme un corps social: ceux-ci ont un lien avec les sociologues. À travers ce corps est représenté le collectif: la vie du groupe. Le corps social représente en effet la société complète et non l'individu seul. C'est pour cela que l'on ne parle pas d'individualisme dans ces habitations collectives. Cependant, l'idée première est de construire l'histoire du quartier et, de la matérialiser. Elles sont donc représentées, afin de transmettre un message.

 

 

Ainsi, le mode de vie est très différent de la société d'aujourd'hui, puisque effectivement, la présence d'une société traditionnelle est mis en place dans ces favelas. Elles ont un réel lien avec celle-ci et y sont très attachées. Celles-ci sont précaires, elles sont typiques d'une société traditionnelle. Il y a un chef dans ces bidonvilles, il y a la présence d'un groupe en effet, groupe qui produit des normes et des valeurs. En effet, les différents artistes défendent la façon de vivre dans les favelas, ils défendent les valeurs et les normes de celles-ci, qui, représentent en effet, un réel atout la population brésilienne vivant dans ces bidonvilles. Cette population est mise à l'écart de la société, de plus, cela est typique dans certains pays, crée un réel conflit. Un conflit entre les favelas et le centre-ville: un conflit au niveau de la richesse, et des inégalités gigantesques qui sont présentes à l'intérieur de celui-ci. Ainsi, ce conflit est donc présent dans différents pays, où les inégalités ne cessent d'être imposante.

 

 

En conclusion, les favelas sont essentielles pour les habitants qui ne cessent de défendre l'immense histoire qu'elles ont, le lien social est donc totalement assidu. Elles sont représentées sous différents aspects. Elles révèlent une réelle histoire marquée depuis des siècles, chaque représentation signifie un fait, qui ne cesse d'être défendu et mis en valeur pour caractérisés ces habitations qui comprennent des inconvénients, mais tout de fois, de réels atouts.

 

 

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